Sport et Sexe : on entend tout et son contraire, certains entraineurs l’interdisent, notamment par peur d’une dépense énergétique trop importante qui pourrait impacter la compétition quelques heures plus tard, alors que d’autres au contraire ne veulent pas générer de la frustration chez leurs élèves et n’interdisent rien de ce point de vue. Les statistiques sont étonnantes dans les villages olympiques par exemple et les organisateurs depuis Calgary 1988 prévoient systématiquement un stock (très) important de préservatifs : 160 000 préservatifs à disposition des 11 000 participants soit 14 par personne pour 16 jours pour les derniers JO de Tokyo, alors qu’a Rio, en 2016, avaient été distribués 42 préservatifs par sportif ! La sexualité chez les sportifs peut parfois être sujet à des fantasmes sur l’optimisation de la performance sportive; « il ne faut pas jamais l’amour avant une compétition », ou au contraire « la pratique du sport augmente la libido », ou même « la frustration sexuelle rend plus « agressif » sur le terrain », voir « une éjaculation fait diminuer le taux de testostérone et donc la force musculaire », on entendra tout et se contraire en fonction des entraineurs interrogés…En réalité, aucune étude scientifique ne donne de preuves irréfutables sur les bienfaits ou au contraire des dommages du sexe sur les performances sportives et encore moins sur la sante ! La plupart des idées reçues le sont d’ailleurs sur les relations sexuelles avant le sport, mais rarement sur la période post compétition – faire l’amour faciliterait il la récupération ?
Ce que l’on sait, de manière scientifique, c’est que se faire plaisir fait du bien (plusieurs études le demontrent pour le coup) ! Juste avant une compétition, est ce que l’être humain va secréter plus de dopamine, l’hormone du désir ? C’est probable car outre son rôle dans la faculté d’aimer, cette hormone nous aide dans la projection, dans la concentration, dans les performances physiques, soit des éléments très importants pour un sportif. Il serait intéressant scientifiquement donc, de voir, si le sportif produit plus de dopamine la veille d’une compétition par exemple. Si tel était le cas, on pourrait effectivement imaginer que les sportifs vont ensuite produire (1) la lulibérine, une autre hormone libérée au début de la relation sexuelle, puis (2) les endorphines, les hormones du plaisir avant de faire place (on l’espère), a (3) l’ocytocine, les hormones de l’orgasme.
Ce que l’on sait également, c’est que pour performer, outre la notion de plaisir, le fait d’être reposé et de bien dormir augmente les chances de performer ! Hors un rapport sexuel sommaire permet généralement de s’endormir plus facilement (que sans).
Revenons au principe du sport, que l’on soit sportif de haut niveau ou simple amateur – l’objectif demeure de se faire plaisir. Là ou il y a plaisir, il y a normalement libération de dopamine. C’est généralement quand on est heureux, et quand on a le moral, que l’on peut réaliser les meilleures performances, certains parlent « des étoiles toutes alignées ». Partant de là, on pourrait se dire (1) que si la performance sportive a été bonne le JOUR J, c’est probablement que le sexe lui-même a été bon le Jour J-1 mais aussi (2) que le sexe sera d’autant meilleur juste après une réussite sportive, grâce au plaisir procuré par la performance sportive. Plus que la chimie donc, c’est la notion de plaisir, d’être bien dans sa peau, une sorte de « plénitude » qu’il faut viser, qui amènera a se dépasser dans sa discipline, et de realiser des performances sportives toujours meilleures. Certains auront besoin pour être heureux, d’avoir eu du sexe, alors que d’autres auront eu besoin au contraire de calme et d’une concentration solitaire.
Chez le sportif masculin, il reste que la testostérone (hormone sexuelle mâle) influence la libido (il y a cette fois-ci des preuves scientifiques) et cette testostérone est en partie sécrétée lors d’une activité physique, on pourrait donc imaginer que les hommes après une bonne dépense physique, ait effectivement un désir plus important, qu’après une journée de bureau ! La testostérone joue un rôle très important en tant qu’hormone du désir, elle stimule le plaisir et booste la libido. Elle a donc une action positive sur le sexe et faire du sport entretien le taux de testostérone. Voici donc le lien direct qui permet d’affirmer que l’entretien physique est ce qu’il y a de mieux pour s’épanouir sexuellement.
Pour le sportif amateur qui ne se fatigue pas trop et reste relaxé, la libido augmente et le corps devient de plus en plus performant. Des aspects positifs liés notamment aux endorphines, hormones qui font à la fois offices d’antidouleurs et d’euphorisant.
Ne jamais oublier que notre corps a une mémoire, il se souvient de ce qui lui fait du bien, ce qui signifie concrètement que comme notre corps finit par s’habituer aux 1 heures de fitness que l’on fait le mardi, ou la course a pieds du samedi matin, il se souviendra aussi des bienfaits d’une activité sexuelle régulière que l'on soit athlètes ou simples sportifs amateurs.
Le sport, notamment a un certain niveau, demande une certaine concentration, et même une certaine rigueur. En cas de stress lié à la recherche de réussite, le corps subit la pression, psychique évidemment mais aussi physique, et certaines capacités sexuelles peuvent ainsi être réduites de par le stress engendré par la compétition. Un sportif déjà stressé par sa compétition, qui la veille, ne réussirai pas a avoir de relations sexuelles. Il faut faire donc évidemment faire la différence entre l’envie, et la performance. L’esprit de compétition, la pratique trop intensive du sport peuvent gâcher une relation. Il ne faut pas non plus négliger les périodes longues sans rapports sexuels. Il faut donc surtout garder cette idée en tête : le plaisir est le meilleur remède !
Dans la gamme Stimium, nous avons quelques produits intéressants autour de cette notion de Sport et de Sexe. Vital LLR, un comprime composé de 3 couches d’actifs se libérant en 5 minutes, 45 minutes et 8 heures, est une association de vitamines, minéraux, ginseng et tribulus, le tribulus étant un actif très connu pour stimuler la sexualité, tant chez les hommes que chez les femmes.
Stimium KG , Ginseng rouge, qui aide à lutter contre l’inflammation et le stress oxydatif et stimule la libido chez la femme et chez l’homme.Stimium GABA qui favorise le calme et la relaxation, diminuant l’anxiété et favorisant un sexe reposant avec une compétition tout comme Stimium Ashwagandha, favorisant une libido plus active.